Le Food Safety and Inspection Service (FSIS) de l’USDA a publié une nouvelle pétition demandant à l’agence de modifier ses règlements d’inspection volontaire pour les espèces animales exotiques afin d’y inclure les produits animaux exotiques importés, tels que les produits de venaison importés.

La pétition a été déposée le 13 octobre par Union, NJ-based D’Artagnan LLC.   Il demande au FSIS de modifier les règlements d’inspection volontaire afin d’inclure une allocation pour les produits importés Il dit qu’il a besoin d’une solution au problème que son produit de base de venaison a avec l’inspection dans les 27 États qui ne sont pas inspectés par le gouvernement fédéral.

« es garnitures pour ce produit proviennent de la Nouvelle-Zélande. En tant que tel, ils n’ont pas d’inspection fédérale ou d’État, dit D’Artagnan Louis V. Pugliese, directeur de l’assurance de la qualité. « Les règlements fédéraux actuels stipulent que ces produits provenant d’garnitures importées sont considérés comme des espèces non non admissibles à une inspection volontaire. »

M. Pugliese affirme que le FSIS « à l’heure actuelle ne reconnaîtra que les garnitures d’origine nationale ». Il a déposé une requête le 13 octobre qui « demande respectueusement au FSIS de modifier ses règlements pour inclure l’inspection volontaire d’espèces importées comme la venaison ».

Bill Merkent, directeur général de Thumann Inc., qui fabrique des produits de viande assortis pour D’Artagnan LLC y compris la venaison, soutient la pétition. Il est favorable à  » permettre les marquages officiels de l’inspection volontaire sur la venaison importée transformée dans les établissements reconnus par l’USDA.

En tant que pétitionnaire, Pugliese souhaite que les règlements soient modifiés pour inclure les dispositions suivantes :

a) Service d’inspection volontaire. Un service d’inspection et de certification pour la salubrité relative à l’abattage et à la transformation d’animaux exotiques et à la transformation de produits animaux exotiques. Toutes les dispositions de la présente partie s’appliquent à l’abattage d’animaux exotiques et à la préparation, à l’étiquetage et à la certification des viandes animales exotiques et des produits animaux exotiques transformés dans le cadre de ce service d’inspection des animaux exotiques.

b) Seuls les animaux exotiques qui ont fait l’objet d’une inspection ante mortem, soit dans un établissement officiel, soit dans une installation d’importation agréée par l’USDA, tel que décrit dans cette partie et qui sont transformés dans des établissements officiels d’animaux exotiques conformément à cette partie, peuvent être inspectés et adoptés.

c) Les animaux exotiques, la viande animale exotique et les produits alimentaires à base de viande sont manipulés dans un établissement animal exotique officiel afin d’assurer la séparation et l’identité de l’animal exotique ou de la viande animale exotique et des produits alimentaires à base de viande jusqu’à ce qu’ils soient expédiés de l’établissement animal exotique officiel afin d’éviter de se mêler à d’autres espèces.

d) Une inspection volontaire est accordée aux animaux exotiques importés dans les 27 États qui estiment que l’animal exotique est une espèce pouvant être

Les arguments de D’Artagnan en faveur de la pétition

À l’heure actuelle, les espèces non aimables provenant de sources nationales sont autorisées par une inspection volontaire. Nulle part dans le 9 CFR 352, les règlements fédéraux d’inspection volontaire stipulent-il que les nationaux sont acceptables, mais que les sources étrangères ne le sont pas.

Les améliorations proposées par D’Artagnan ajoutent de la clarté au règlement. Une inspection volontaire est en place pour assurer la salubrité des produits qu’elle supervise. Avec la réglementation actuelle, un produit d’une source importée est mis en vente sans l’avantage des directives de l’USDA. Comme l’inspection volontaire est financée par les frais payés par la société qui en fait la demande, il n’y a pas de fardeau financier pour l’USDA.

La Loi de 1946 sur la commercialisation de l’agriculture est la base du règlement d’inspection volontaire.

Dans le sec 202, le deuxième objectif de la loi est de « coopération entre les organismes fédéraux et d’État, les producteurs, les organisations industrielles et d’autres dans le développement et l’exécution de programmes de recherche et de marketing afin d’améliorer les processus de distribution.

« Le refus fédéral de l’inspection volontaire et l’inspection de l’État ne permettant pas le commerce interétatique va directement à l’encontre de l’objectif du Congrès. À l’article 203 du présent règlement, la loi précise que le Secrétaire à l’agriculture est chargé, sous la sous-partie e), « e favoriser et d’aider au développement de marchés nouveaux et élargis (nationaux et étrangers ».

En vertu d’un accord de coopération « u moins égau » avec le FSIS, les États peuvente leurs propres programmes d’IPM s’ils satisfont et appliquent des exigences « au moins égales » à celles imposées en vertu de la Loi fédérale sur l’inspection des viandes,

Loi de 1978 sur l’inspection des produits avicoles et la Loi de 1978 sur les méthodes d’abattage humaines. Les viandes et les produits avicoles inspectés par l’État ne sont limités qu’au commerce intraétatique. Ce règlement est également en conflit indirect avec la Loi sur la commercialisation agricole de 1946. L’inspection d’État est dans ce cas au-delà des règlements fédéraux devrait donc favoriser la croissance des marchés intérieurs et étrangers par l’intermédiaire interétatique.

Conclusion

Comme indiqué dans la présente pétition, D’Artagnan demande des changements au règlement sur l’inspection volontaire. L’inspection volontaire assure la sécurité de l’approvisionnement alimentaire tout en soutien direct aux intentions du Congrès de la Loi sur la commercialisation agricole de 1946 qui est la promotion des marchés intérieurs et étrangers.

Le FSIS indique que le pétition indique que l’action demandée est nécessaire pour permettre d’accroître les ventes de son produit au sol fabriqué à partir de venaison importé de Nouvelle-Zélande vers des États qui ont « u moins égau »

Programmes d’inspection d’État en vertu des règlements fédéraux d’inspection des viandes et dans lesquels la venaison est considérée comme une espèce susceptible de se rendre aux lois et règlements de l’État.

Selon la pétition, l’action demandée n’aurait aucun coût supplémentaire ou un fardeau financier pour l’USDA parce que l’inspection volontaire est financée par la société qui en fait la demande.

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