L’aspartame, un édulcorant commun utilisé dans de nombreux produits, y compris les boissons gazeuses et le chewing-gum, devrait être déclaré cancérogène possible par le Centre international de recherche sur le cancer (CIRC) de l’Organisation mondiale de la santé en juillet, selon Reuters.

Reuters affirme que son point de vue provient de « deux sources connaissant le processus » et affirme que l’édulcorant commun « sera répertorié en juillet comme « peut-être cancérogène pour l’homme » pour la première fois » par le CIRC. L’annonce officielle aurait lieu le 14 juillet 2023.

L’Institut national de recherche sur le génome humain (NHGRS) définit un « cancérogène » comme « une substance, un organisme ou un agent capable de causer le cancer », faisant ainsi de sa présence dans les aliments et les boissons un risque pour la santé des consommateurs.

Selon l’American Cancer Society (ACS), l’aspartame est « un édulcorant artificiel, vendu sous des noms de marque tels que NutraSweet et Equal, utilisé aux États-Unis depuis le début des années 1980 ». L’ASC explique également que l’aspartame est couramment utilisé comme édulcorant de table, ainsi que dans les aliments et les boissons préparés.

Reuters’ Le rapport affirme que l’aspartame est « utilisé dans des produits allant des sodas diététiques Coca-Cola au chewing-gum Extra de Mars et à certaines boissons Snapple », mais le BBC a affirmé que l’édulcorant est présent dans « Diet Coke, Coke Zero, Pepsi Max et 7 Up Free », bien qu’il constate également qu’il est présent dans « environ 6 000 produits alimentaires ».

Tendances de l’industrie des édulcorants et nouvelles formulations

Reuters a affirmé que la décision du CIRC aurait été « finalisée plus tôt ce mois-ci » à la suite d’une « réunion des experts externes du groupe ». Il a poursuivi en disant que la décision est « destinée à évaluer si quelque chose est un danger potentiel ou non, sur la base de toutes les preuves publiées ». Toutefois Reuters indique que la décision « ne tient pas compte de la quantité d’un produit qu’une personne peut consommer en toute sécurité ».

Toutefois Reuters a souligné qu’il y a eu « des décisions similaires du CIRC dans le passé » pour diverses substances qui ont suscité des préoccupations chez les consommateurs concernant l’utilisation des édulcorants. Il a poursuivi en notant que ces décisions « ont conduit à des poursuites judiciaires et ont fait pression sur les fabricants pour recréer des recettes et passer à des alternatives », ce qui a finalement entraîné « des critiques selon lesquelles les évaluations du CIRC peuvent être déroutantes pour le public ».

Nouveaux aliments tiendra ses lecteurs informés au cours des prochaines semaines.

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