L’Union européenne a lancé une campagne aux États-Unis pour promouvoir les produits alimentaires et les boissons.

La campagne de communication met l’accent sur la sécurité, la qualité et l’authenticité des produits européens.

L’UE est le troisième fournisseur de produits agricoles et agroalimentaires des États-Unis après le Mexique et le Canada.

Les catégories de produits présentées comprennent les fromages, l’huile d’olive, les fruits et légumes, le chocolat et les produits de confiserie, les pâtes et les produits de boulangerie, le vin, la bière et les spiritueux.

L’UE dispose de plusieurs systèmes de qualité, notamment l’appellation d’origine protégée (AOP) et l’indication géographique protégée (IGP), afin de protéger les noms de produits spécifiques et de promouvoir leurs caractéristiques. Les objets sont liés à ces origines et ne peuvent pas être reproduits ailleurs. Pour les produits AOP, chaque partie du processus de production, de transformation et de préparation doit avoir lieu dans la région spécifique, tandis que l’IGP est moins stricte.

L’utilisation de pesticides, d’herbicides, d’additifs, d’arômes et d’enzymes est réglementée dans les 27 États membres de l’UE. Il existe des normes strictes en matière de santé et de sécurité tout au long de la chaîne d’approvisionnement, du champ au consommateur, dans des domaines allant des pesticides à l’emballage, en passant par la prévention des maladies et l’hygiène.

Vous trouverez plus d’informations lors d’événements en mars tels que Charleston Wine + Food et South by Southwest au Texas ou Vinexpo à New York en juin, et la conférence de l’American Cheese Society à Buffalo en juillet.

Aides d’État en faveur de la République tchèque
Dans le même temps, la Commission européenne a approuvé deux programmes tchèques dotés d’un budget d’environ 1,46 milliard d’euros (1,6 milliard de dollars) pour aider à prévenir la propagation de certaines maladies de la volaille et des porcs.

La République tchèque a notifié à la Commission européenne des plans visant à aider les agriculteurs à prévenir les maladies et à adopter des mesures de biosécurité. L’objectif est d’enrayer la propagation de la grippe aviaire, de la campylobactériose à Salmonella et des volailles, de la brucellose porcine, du syndrome reproducteur et respiratoire porcin et de la salmonellose.

Les mesures seront en vigueur jusqu’en décembre 2029 et sont ouvertes aux petits, moyens et grands agriculteurs de la République tchèque qui ont mis en place des mesures de désinfection, d’extermination des insectes et des rats et d’autres mesures de biosécurité.

Il s’agira de subventions directes destinées à couvrir les coûts supplémentaires liés au nettoyage des locaux et des équipements agricoles, au traitement des aliments et de l’eau et aux interventions vétérinaires. Elle couvrira jusqu’à 50 % des coûts admissibles.

« Ces projets tchèques de 1,46 milliard d’euros garantiront la production d’aliments sains et sûrs. Ils aideront les agriculteurs à adopter des mesures visant à prévenir la propagation de certaines maladies animales et contribueront à la réalisation de l’objectif agricole de l’UE d’assurer la sécurité alimentaire à long terme, sans fausser indûment la concurrence », a déclaré Margrethe Vestager, vice-présidente exécutive chargée de la politique de concurrence.

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